Trois chantiers pour le Conseil national du numérique. Composé de membres de sociétés internet, le CNNum semble soucieux de s’ouvrir de nouveaux marchés. Outre la compétitivité numérique, l’open data (les données accessibles à tous via Internet), il compte se pencher sur l’e-education. 01net.com analyse que « le CNNum se dit convaincu que l’usage des nouvelles technologies peut être un remède à l’échec scolaire en France, où 19 % des enfants sortent de l’école primaire sans maîtriser la lecture et l’écriture. » De son côté, l’Élysée dans son compte rendu de la rencontre avec cet organe consultatif qu’il avait installé en avril dernier a évoqué son souhait de l’associer organisation d’une semaine dédiée au numérique visant à promouvoir les technologies de l’information et de la communication en France. Autre manifestation souhaitée par le Président de la République, une rencontre “de haut niveau dédiée” à la compétitivité du secteur du numérique, qui rassemblerait des universités, des entrepreneurs et des industriels du secteur.
Deezer s’implante à l’étranger, mais évite les États-Unis et le Japon. Raison de cette stratégie à l’inverse de celle de son concurrent Spotify selon Numerama, « Deezer a pour sa part choisi de se concentrer sur les marchés délaissés par les services concurrents. ».
Pour une Hadopi démocratique qui évite le populisme numérique, Serge Champeau, professeur de chaire supérieure en philosophie et Paul Mathias responsable du labs hadopi “internet et société” dissertent sur Lemonde.fr. Ayants droit, chronologie des médias, le blog de Ludovic Pénet en charge du numérique au Laboratoire des Idées du PS imagine lui aussi un après Hadopi sur son blog publié par LeNouvelObs.com et prône la piste de la gestion collective obligatoire des droits sur Internet. Le but ? “Sortir de la stagnation, organiser le marché et arrêter la guerre au partage”.
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