En analysant les marché de l’Allemagne et de la Grande Bretagne, il apparaît évident qu’une sortie de crise n’est pas possible sans le disque physique.
Les chiffres du marché de la musique en France ont été révélés il y a quelques jours par le Syndicat National des Editeurs Phonographiques (SNEP). Comme prévu, l’ensemble des ventes digitales et physiques accuse une baisse de 7%, dont -16% pour ces dernières. Les consommateurs achètent moins de disques, l’usage du streaming se démocratise à grande vitesse : 42% des internautes français utilisent un service de streaming musical, mais 5% seulement sont abonnés (3 millions) et parmi ceux-ci, plus de la moitié via des bundles (offre couplée avec un opérateur téléphonique).
On le répète assez souvent : les revenus du streaming, malgré un usage massif, ne génèrent que très peu d’argent à côté des ventes physiques, même en chute libre. Et que dire de la répartition entre les artistes et les labels indépendants, garants de découverte musicale, qui doivent ainsi se partager des miettes ?
Au delà de ce constat préoccupant,…
Lire la suite du communiqué de presse ici.