Le label copy idéal en détails

Lors de la sortie d’un album le label copy inclut habituellement au minimum les métadonnées suivantes : le nom de l’artiste et des interprètes, le titre des pistes et de l’album, le genre principal, les codes ISRC et UPC. 

 

> Ajouter davantage de métadonnées apporte des bénéfices  :

  •  ● L’identifiant ISNI : L’International Standard Name Identifier permet d’éviter les confusions entre artistes ayant des noms similaires (homonymes ou d’utilisation de pseudonymes), et d’attribuer les nouveaux titres au bon artiste).
  •  ● Les crédits (nom et rôle de chaque artiste contributeur de l’enregistrement, producteur, éditeur) permettent de mieux référencer les artistes et les œuvres, et d’offrir des parcours de découverte pour les auditeurs intéressés par ces informations. Les informations disponibles en ligne doivent être le reflet de ce qui est présent sur la pochette du disque.

En plus des métadonnées strictes, publier :

  •  ●  Les informations sur les concerts de l’artiste (date, nom de l’artiste, ville, nom de la salle) sur les plateformes comme Bandsintown ou Songkick, 
  •  ●  Les paroles des chansons sur les plateformes comme Musixmatch ou LyricFind
Elles ont un pouvoir significatif de référencement pour l’artiste, ses œuvres et les concerts auxquels ils participent. Si vous êtes éditeur de la musique, vous pouvez aussi utiliser la base Boem.

 

> Sur les portails « for artist » des DSP, 

  •  ● Les métadonnées descriptives demandées (genres, ambiance) ne jouent pas un rôle très important car les DSPs ont leur propre système interne de qualification. Pitcher ses titres reste néanmoins un moyen d’être sélectionné dans les playlists éditoriales. 
  •  ● La biographie et les images de l’artiste permettent de mieux contrôler l’image de l’artiste.

 

> Les bases de commun comme Wikidata, Musicbrainz et Discogs, ont permis de disposer de références fiables pour divers acteurs de la filière. Mais après les efforts considérables déployés par les DSPs sur leurs propres bases, y publier des informations a moins d’utilité, à part dans quelques cas précis (Youtube par exemple recommande d’utiliser Wikipédia ou Musicbrainz pour modifier la photo ou la discographie d’un artiste).

 

> Pour la gestion des droits, ajouter : 

  •  ●  L’IPI : L’Interested Parties Information permet d’identifier rapidement et de manière unique les ayants droit des œuvres
  •  ●  L’ISWC : L’International Standard Musical Work Code permet d’identifier de façon unique une œuvre musicale, quelle que soit sa version
Les investissements réalisés sur la promotion peuvent être rendus moins efficaces si le travail sur les métadonnées et les informations sur l’artiste a été négligé
Ainsi, la publication de métadonnées et informations sur les artistes et leurs œuvres contribuent à leur bon référencement et leur trouvabilité, et sécurise le retour sur investissement des efforts de promotion.
Fiche à remplir : label copy idéal
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